Felix, notre petit chat combattant
Nous avons depuis quatre ans un superbe matou que nous avons appelé Felix. Noir de jais et puissant, il est à nos yeux une sorte de panthère de poche. Si Felix règne en maître sur un vaste territoire, il arrive que des congénères osent pénétrer dans son «domaine». Felix défend alors corps et âme son territoire – comme le font tous les chats. La plupart du temps, notre Felix sort victorieux des conflits. Sauf qu’un matin, après avoir passé la moitié de la nuit dehors, il est rentré à la maison en miaulant d’une voix à fendre l’âme. Il était couvert de griffures et de morsures à la tête et au niveau des épaules, tant et si bien que nous avons dû le conduire d’urgence à la clinique vétérinaire.
Nous étions affolés de voir notre animal en si piteux état, lui qui, quelques heures auparavant, était en pleine forme. En plus des soucis occasionnés par ses blessures, nous étions rongés d’inquiétude à l’idée que notre Felix puisse rester défiguré ou estropié. Le vétérinaire traitant est par chance un professionnel très compétent, non seulement en chirurgie, mais aussi pour traiter les blessures. Felix a été si bien soigné qu’il fallait plus tard regarder vraiment de très près pour voir les traces laissées par les violentes bagarres.
Nous avons reçu la facture de la clinique dix jours après l’opération. Si nous étions d’ores et déjà préparés à ce que les soins prodigués à Felix ne soient pas bon marché, le montant des honoraires dépassait de loin nos estimations. Il faut dire que Felix n’est pas notre premier animal domestique. Nous avions eu auparavant une petite chatte écaille de tortue qui avait dû être hospitalisée après avoir été heurtée par une voiture. Le montant de la facture était tel que nous avons retenu la leçon: nous avons décidé de nous mettre désormais à l’abri des situations imprévues en souscrivant une assurance animaux. Dans le cas de Felix, régler le montant de la facture n’a pas été un casse-tête puisque l’assurance animaux a pris les frais en charge. A notre grand soulagement, la convalescence de Felix s’est déroulée sans la moindre complication et, au bout de quelques semaines, notre matou était redevenu comme avant.
Si nous ne pouvons malheureusement pas empêcher les luttes territoriales, nous pouvons au moins nous assurer contre les frais occasionnés par les soins vétérinaires. Toute personne qui aime vraiment les animaux ne doit certes pas regarder à la dépense, ni lésiner sur les efforts. Mais en concluant une assurance animaux offrant un excellent rapport qualité-prix, elle est sûre et certaine de faire le bon choix.
Auteure: C. W., mars 2016
Visite inévitable chez le vétérinaire
Nous avons bien évidemment déjà pensé au pire… s’agit-il d’un empoisonnement? Ou bien a-t’il avalé quelque chose de travers?
Nous nous sommes rendus chez le vétérinaire le même jour afin de laisser Bello se faire ausculter. A ce moment-là, seule la santé de notre chien comptait. Les frais jouaient un rôle secondaire. L’essentiel était qu’il guérisse et qu’il retrouve la forme.
En se basant sur l’état du poil de Bello, le vétérinaire a tout de suite remarqué que quelque chose n’allait pas. Après plusieurs examens, le diagnostic était clair; il s’agissait de la maladie du ver. Malgré une cure de déparasitage, il est très répandu que les chiens se fassent quand même contaminer par cette maladie.
Après le traitement par le vétérinaire, notre Bello allait beaucoup mieux et nous étions très heureux qu’il soit redevenu «l’ancien» Bello.
Quand nous avons ensuite reçu la facture du vétérinaire, nous nous sommes profondément effrayés quant à la somme élevée des frais du traitement. Nous étions forcés de constater que cela peut vite devenir très onéreux.
Heureusement que nous avions reçu lors de l’achat de Bello, le bon conseil de la part de l’éleveuse de souscrire une assurance pour animaux. Nous avions opté pour l’assurance wau-miau et avons été remboursé d’une grande partie des frais du vétérinaire. Pour nous, l’assurance wau-miau était la bonne décision.
Auteur: P. Schmid, 21 octobre 2015
Pourquoi Sphinx ne remue-t-elle plus la queue?
Lorsque ma chienne Sphinx a eu 3 ans, j'ai souscrit auprès de l'ERV une assurance animaux qui s'appelle «wau-miau». Pendant des années, j'ai été contente de ne payer que les primes sans devoir faire appel aux prestations. Malheureusement, les choses ont changé en janvier 2014: d'un coup, Sphinx n'arrivait presque plus à dresser sa queue, si bien que j'ai dû l'emmener à la clinique vétérinaire.
Elle a subi une batterie d'examens, notamment un scanner pour mettre en évidence les points faibles de son dos. Avant d'anesthésier Sphinx, le vétérinaire en chef m'a demandé si j'étais d'accord pour qu'elle soit opérée immédiatement en cas de mauvais résultats. J'ai bien sûr dit oui tout de suite. Pendant deux longues heures d'inquiétude, j'ai attendu l'appel de la clinique. Le vétérinaire en chef m'a ensuite annoncé une triste nouvelle: le nerf qui descend dans les membres inférieurs était coincé à tel point que ma chienne ne pourrait probablement plus marcher à brève échéance. L'opération était la seule option envisageable pour mettre un terme aux douleurs qu'elle ressentait. Après les deux autres heures d'attente interminable qu'a duré l'intervention, j'ai même pu récupérer ma chienne et la ramener à la maison. Sphinx a heureusement très bien supporté l'opération. La clinique vétérinaire a prescrit pour elle un programme de remise en forme et m'a donné quantité d'informations importantes pour sa guérison définitive.
Quinze jours plus tard, j'ai reçu la facture de la clinique. Chaque propriétaire d'animal sait qu'en dehors du rappel annuel de vaccins, emmener son protégé chez le vétérinaire pour des problèmes de santé de ce type occasionne des frais très élevés. J'ai appelé tout de suite l'assurance wau-miau de l'ERV pour me renseigner sur la marche à suivre en cas de maladie. Sur la page web de l'assurance, on trouve un formulaire d'une page très facile à remplir – au final, une assurance animaux fonctionne de la même manière que l'assurance maladie obligatoire des humains: il y a une franchise annuelle qui varie en fonction de la variante d'assurance choisie, ainsi qu'une quote-part de 10%. La plus grande partie des frais a été ainsi prise en charge par l'assurance. Ma chienne est bien plus qu'un animal de compagnie: elle est ma fidèle amie. La question de savoir si l'on a les moyens financiers de faire soigner son animal malade ou si on doit plutôt le faire euthanasier, comme c'était autrefois si souvent le cas, ne doit plus se poser à notre époque.
Ma conclusion personnelle: chaque propriétaire d'un animal de compagnie a tout intérêt à souscrire une assurance animaux s'il veut être bien assuré en cas de problème et ne pas avoir à sa charge tous les frais qui en résultent.
Auteure: Andrea Vetsch, décembre 2015
Mais qu'arrive t'il à notre Bello?
Bello est notre chien depuis deux ans. Il est heureux, actif et mange presque tout ce qu’il trouve sur son chemin lors de promenades. Un jour, lorsqu’il était l’heure de faire sa promenade il était tout d’un coup très passif. Il ne courait pas vers la porte comme à son habitude lorsque nous prenions sa laisse et il ne mangeait plus, même pas son repas favoris duquel il ne laissait d’habitude aucune miette.
Au retour de sa promenade il a commencé à avoir la diarrhée et nous nous sommes aperçus que pendant toute la journée il n’a quasiment rien bu, chose que nous n’avons jamais vécue avec Bello. Ce fut la première fois que notre Bello adoré était si mal en point, raison pour laquelle, nous avons décidé de consulter un vétérinaire.